J'écris sans cesse, je laisse mes textes envahir les pages, je tente/teinte une nouvelle couleur, un fond sépia, une déchirure ou une coulure...
Je suis grisée d'écriture, cherchant inlassablement le rythme et la beauté de la page
Le choix même de ce vocabulaire (teinte, sépia, déchirure, coulure...) évoque une douce mélancolie et une tristesse inconnues...
Mais rien ne vaut le bonheur de pouvoir passer de longues heures un pinceau ou une plume à la main, avec des encres superbes sur des papiers étranges, à la découverte de textes pleins d'émotion, ou laissant aller et venir mes propres mots ..
J'ai trouvé, de René Char, des poèmes sur l'insomnie ("Faute de sommeil, l'écorce...") qui me parlent et m'émeuvent profondément (et je ne comprends pas tout....)
Les colonnades de F CH.... moins émouvants
et bien sûr, l'Ecclésiaste...
A voir.....
J'aime les lettres et les mots et m'intérese au rapport texte et textile, et j'ai aimé venir ici, découvrir, flanêr, je vous mets dans mes favoris, même si ma vie de git'Anne ne me permet pas toujours de surfer autant que j'aimerais.JE reviendrai...
RépondreSupprimerrevenez quand vvus voulez... il y a du nouveau pour l'expo et ce n'est pas fini !!
SupprimerMerci de votre passage
il y a de la sensualité à laisser la plume courir d'un mot à l'autre. et les architectures , les textures ainsi créées sont fascinantes.
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